Lydia Morel-Bétermin
Fondatrice
Mon expérience professionnelle est très riche et diversifiée dans le domaine des sciences humaines et expérimentales ainsi que dans le domaine commercial.
Je suis trilingue français, anglais et allemand.
Française d'origine, j’ai vécu 4 ans en Allemagne et 2 ans au Canada, en Ontario (Province anglophone) et au Québec.
Je vis actuellement en Suède.
Parcours académique et professionnel
Ayant une préférence pour la recherche scientifique dans le secteur de la biologie, j’ai repris des études en biologie moléculaire et cellulaire en 2006. J’ai suivi un Master avec une spécialisation en Immunologie. J’ai pu travailler dans le domaine des maladies autoimmunes au laboratoire d’immunologie cellulaire de l’INSERM à l’Hôpital de La Pitié Salpêtrière à Paris où j’ai réalisé des travaux de recherche clinique (suivi de la réponse immunitaire) sur une cohorte de patients (Lupus Erythémateux Systémique, Sarcoïdose). En 2008, j’ai eu l’occasion de travailler sur les maladies infectieuses (VIH) au sein du Service d’Immuno-Virologie du CEA où je me suis intéressée à l’expression de récepteurs et ligands impliqués dans l’inflammation chronique liée à l’infection par le VIH.
Fin 2010, j’ai fondé Immunapsis, une société à responsabilité limitée, impliquée dans la recherche et le développement dans le secteur Biomédical et celui des Sciences de la vie.
À partir de la prise de conscience de mon électromagnéto-perceptivité, je me suis intéressée au diagnostic de pollution électromagnétique à l’intérieur des bâtiments et aux matériaux de protection les plus adaptés. En 2018–2019, j’ai suivi trois séminaires d’“Initiation aux techniques de mesure et diagnostic de la Construction Biocompatible et Soutenable” de l’Institut IBN (Institut für Baubiologie und Nachhaltigkeit) et les associations de Baubiologie en Allemagne :
- "Basis-Seminar" partie A "Champs électromagnétiques, Ondes et Radiations dans l’Habitat et au Travail", séminaire de 4 jours à Fulda (en allemand)
- "Basis-Seminar" parties B et C "Substances chimiques toxiques, Moisissures et Champignons dans l’Habitat et au Travail", séminaire de 4 jours à Fulda (en allemand)
- "Basis-Seminar HF-Spektrumanlayse" : Analyse spectrale des champs électromagnétiques hyperfréquence pour débutants et professionnels confirmés, séminaire de 3 jours sous la direction du Dr. Martin Virnich, ingénieur en électrotechnique et expert en Baubiologie (en allemand)
En 2019–2020, j’ai réalisé le blindage d’un appartement de plus de 80 m², du sol au plafond, situé dans l’agglomération de Rennes contre les champs électromagnétiques de type hyperfréquences provenant d’infrastructures civiles et militaires ainsi que des objets et moyens de communication sans fils des appartements voisins.
- 2008 : Master Biologie Moléculaire et Cellulaire spécialisation en Immunologie, Université Paris 6
- 2000 : Master spécialisé en Commerce International des Vins et Spiritueux, Ecole Supérieure de Commerce de Dijon
- 1996 : Master en Anthropologie Biologique, Université de Bordeaux 1
- 1995 : Maîtrise en Archéologie, Universités de Paris 1 et Francfort
- En 2012, participation active au sein d’une association internationale dont l’objet est l’analyse critique de notre système économique et la proposition de solutions alternatives
- Yoga Iyengar® de 2010 à 2015
- Initiation au Hapkido (Art martial coréen) en 2014
- Natation en 2014–2015
- Jogging hebdomadaire de 10 km de 2013 à 2016
- Pratique régulière du vol à voile de 1997 à 2003. Brevet de pilote de planeur obtenu en 1998
Maintenenant, je ne peux plus pratiquer les activités en intérieur et en groupe en raison du manque de mesures d’accessibilité dans les lieux publics pour les personnes électromagnéto-perceptives.
A partir de 2017, j’ai réduit le jogging à cause de l’augmentation de la pollution électromagnétique (nouvelles antennes de téléphonie mobile installées au printemps/été). J’ai arrêté définitivement début 2018 en raison de symptômes trop importants : essoufflement, douleurs musculaires, jambes coupées, crachats réguliers…
Pour continuer à avoir une activité physique régulière, j’effectue une marche sportive quotidienne en forêt de 6 à 7 km.
Rémy L.
J'ai plus de 30 ans d'expérience en technologies de l'information. A l'origine développeur, principalement en langage COBOL, j'ai peu à peu évolué vers le domaine de l'infrastructure. J'ai occupé des postes d'administrateur systèmes Unix, Linux et Windows Server, aussi bien en interne dans des entreprises qu'en tant que prestataire via des sociétés de services (SSII maintenant renommées en "ESN" ou "Entreprises de Services du Numérique") ou en freelance. Ces expériences m'ont permis d'évoluer dans des secteurs d'activité variés et de toucher à beaucoup de technologies différentes. Je ne me suis jamais considéré comme un expert dans un domaine particulier, je préfère aborder des sujets variés et avoir toujours de nouvelles choses à apprendre.
L'arrivée des ordinateurs individuels et du réseau local dans les entreprises a coïncidé avec le début de ma carrière professionnelle. Auparavant, les entreprises utilisaient un ordinateur central auxquels étaient connectés des terminaux (écran + clavier) par des câbles série. J'ai donc été témoin de l'implantation de ces réseaux et de leur évolution. Sans être un expert dans ce domaine, j'en connais bien les principes et le fonctionnement, ainsi que les différents équipements qui leur permet de fonctionner. Parmi les différentes étapes, on peut citer les réseaux en bus des débuts, rapidement remplacés par les réseaux en étoile et la généralisation de la norme Ethernet au début des années 90, l'internet public au milieu des années 90 qui a ouvert les réseaux locaux sur l'extérieur et démocratisé leur usage chez les particuliers mais aussi favorisé le piratage, les réseaux sans fils au début des années 2000, les réseaux virtuels…
Dès l'apparition des réseaux locaux sans fils (wi-fi), je me suis toujours interrogé sur leur possibles effets sur la santé et les risques de piratage. J'étais donc réticent à les utiliser et je n'en ai jamais installé à mon domicile, leur préférant toujours les câbles et équipements Ethernet.
De même, j'étais réticent à l'utilisation du téléphone mobile, même si j'ai fini par me laisser convaincre au début des années 2000. Comme tout le monde, je m'y suis fait et j'ai fini par y être modérément dépendant, mais je l'ai toujours éteint la nuit ou dans les salles de spectacles, faisant parfois la police quand je voyais un écran allumé au cinéma ! La découverte de l'existence des personnes EHS/EMP en 2014, puis en 2015 la prise de conscience par ma compagne qu'elle était elle-même EHS/EMP, n'ont fait que confirmer ce que je soupçonnais depuis longtemps : ces gadgets étaient toxiques, et pas seulement pour ceux qui ressentent consciemment leurs radiations.
En 2014, j'ai été diagnostiqué d'une dysbiose intestinale : un excès de levure Candida albicans. Tout ce que j'ai essayé pour la faire régresser, principalement au niveau de mon régime alimentaire, a été sans effet : chaque nouvel examen donnait le même résultat. Mais, à partir de la mi-2015, j'ai été forcé de réduire considérablement l'utilisation de mon téléphone mobile et j'ai surtout cessé de le transporter allumé sur moi, dans une poche de mon pantalon. A partir de ce moment, le Candida albicans a régressé de lui-même et mes soucis intestinaux se sont arrêtés. J'ai appris par la suite, à la lecture d'articles scientifiques, que cette levure réagissait à l'exposition aux radiations en se multipliant.
Etant de mieux en mieux informé des effets biologiques de ces radiations, cette expérience a achevé de me convaincre de la nécessité de me débarrasser à terme de ce gadget toxique. Cela s'est fait par paliers, les étapes seront détaillées dans un prochain article sur ce site. A l'automne 2019, j'ai résilié définitivement mon abonnement, j'ai eu la sensation d'être libéré d'un poids et d'avoir retrouvé un peu de la liberté qui m'avait été retirée de façon insidieuse.
Il me restait encore le téléphone professionnel fourni par le client chez lequel j'intervenais en tant que prestataire de service et que j'utilisais le moins possible. La démission de ma société et la fin de ma mission qui en a découlé à l'automne 2020 a résolu le problème. J'écarte désormais les propositions d'emplois ou de missions freelance qui imposent l'utilisation d'un téléphone mobile, tout comme celles qui ont un rapport de près ou de loin avec les technologies sans fils, que ce soit le support d'infrastructures ou le développement d'applications mobiles.
Vivre sans téléphone mobile à notre époque est un challenge. Les cabines téléphoniques ont disparu, les entreprises de télécommunications font tout pour fermer les lignes de téléphone fixe analogique. Il faut de la persévérance et de l'imagination pour résoudre les problèmes techniques qui peuvent se poser et trouver des solutions de contournement.
Prochainement, je publierai sur ce site des articles sur ce sujet, à la fois pour partager mon expérience et pour donner des conseils techniques.